Le Périscope a déjà 10 ans !

Édition : Mulhouse/Sud-Alsace - 11 février 2019

L’ovni de la presse économique en Alsace poursuit son chemin, avec le soutien de ses annonceurs et de lecteurs de plus en plus nombreux. Bien campé sur ses trois piliers : le web, le journal papier et les Apériscope – rencontres économiques en Sud-Alsace – le Périscope est un journal animé par des personnes qui s’investissent dans la vie de leur territoire.

Le Sundgoscope, 2014-2015

L’ADN du Périscope
Le Périscope est resté fidèle à son identité, il suffit de relire le premier éditorial du N°1, qui annonçait la ligne éditoriale. Le journal se consacre depuis ses débuts à l’exploration attentive de nos entreprises et ressources économiques, incarnées par ces PME de tous secteurs qui sont souvent de formidables découvertes. Après 10 années de reportages sur le terrain à raison de 150 rencontres par an, notre curiosité du monde des entreprises est restée intacte. Tout nous prouve que ce sont elles qui préservent l’écosystème local : habitat, ancrage de la population, loisirs, écoles… Contribuer à créer du lien dans cet écosystème via les Apériscope est le prolongement de notre journal papier, car sans la rencontre en face à face et les échanges entre professionnels, pas de projets nouveaux ! Enfin, on peut lire en ligne tous les reportages en clair, accessibles gratuitement depuis le premier numéro. Le site du journal est un véritable outil de travail pour les professionnels qui recherchent une compétence, un client, un partenaire.

Jean Rottner à Entreprises et Médias d’Alsace, 2010

2009-2014 : La conquête
Ces premières années ont vu la création de plusieurs éditions, au fur et à mesure de l’intérêt manifesté par les lecteurs et la progression du chiffre d’affaires. Quant au premier Apériscope, il a vu le jour en juin 2009 au Technopôle. A cette époque, l’agence Autour du Corail produisait le journal (avec Virginie Tanghe comme webmaster) et ECA s’occupait de la régie. Béatrice Fauroux fut secondée par plusieurs rédacteurs, puis ensuite par la première salariée, Sarah Meliani. Durant cette période, le principe de proximité du journal avec ses lecteurs a été poussé très loin, puisqu’après une première édition Mulhouse Ouest (le “croissant économique”), il y a eu une édition Mulhouse Est (zones économiques de Sausheim à Habsheim), puis une édition Thur-Doller et enfin le Sundgoscope, deux éditions locales qui ont duré deux ans. Ce sont donc 14 éditions différentes qui ont vu le jour en 2014 ! Sans compter une éphémère édition strasbourgeoise qui n’a pas tenu ses promesses.

Naissance de la Web TV en 2016.

 

 

2014-2019 : Le Périsope Sud-Alsace
En 2015, Béatrice Fauroux a décidé de partager cette aventure entrepreneuriale avec de nouveaux associés, Anthony Hernu et Charles Plaisant, par ailleurs dirigeants de l’agence de communication Cactus. Objectif : professionnaliser le journal et mieux le commercialiser. Nouvelle formule de 16 pages au lieu de 8 ou 12, publiée tous les deux mois à 15 000 exemplaires, site internet relooké, création d’une web TV avec un studio mobile et une visibilité en ligne toujours plus importante des entreprises locales : Le Périscope est devenu un média sud-alsacien qui englobait désormais Saint-Louis et sa région, il est resté le media B to B le plus dynamique d’Alsace grâce à cette mutation.

L’équipe en 2016.

Comment le journal est-il distribué ?
Le journal que vous avez entre les mains est distribué dans toutes les zones économiques du Sud-Alsace et des entreprises isolées, au gré des trajets de nos distributeurs dans tout le Sud-Alsace. La zone s’étend au sud d’une ligne de Saint-Louis à Wesserling, en passant par la zone de Pulversheim. Cette distribution pourrait être améliorée, notamment si vous nous signalez des endroits où les chefs d’entreprise se rencontrent souvent (certains restaurants par exemple).

Voiture signalétique, 2014

 

 

Et le journal en ligne ?
Depuis la refonte du site internet www.le-periscope.info et les progrès que nous avons réalisés dans la mise en ligne de nos articles, vous fréquentez de plus en plus le site du journal et cela nous réjouit. Tous les jours, plus de 500 pages sont vues (en moyenne 16 000 par mois), ce qui est performant pour un média ciblé, local et B to B. Tous les jours ou presque, nous allons sur le terrain et publions les faits et gestes des entreprises qui nous informent, en plus des reportages en entreprise.

Apériscope Audi, 2015

 

 

Qu’est-ce qui est gratuit, qu’est-ce qui est payant ?
Nous travaillons comme toute rédaction en toute liberté, en choisissant nos articles selon les entreprises, secteurs géographiques du Sud-Alsace, en choisissant des sujets encore peu explorés ou des thématiques pour nos dossiers. Bien entendu, nous sommes aussi attentifs aux demandes des entreprises et stockons des sujets qui seront traités en ligne ou dans une édition ultérieure. Un article payant, c’est un publi-reportage. Toutes les publicités sont payantes, ce sont elles qui financent le journal. On peut aussi passer des publicités en ligne ou commander des prestations B to B : création de web TV en marque blanche, accompagnement des événements d’entreprises.

L’équipe en 2013.

Qui finance le journal ?
Le Périscope est une création privée ex-nihilo, avec un sens de l’intérêt général poussé. Gratuit pour le public, tout comme les articles publiés en ligne ou les Apériscope, il est financé à 100% par la publicité, sous toutes ses formes : bannières web, publi-reportages ou publicités dans le journal papier, sans oublier les sponsors de nos Apériscope. Les entreprises représentent 80% des annonceurs, les institutions publiques environ 20%.

Apériscope Henner, 2011

 

Quels sont les projets du journal ?
Qu’il y ait un Périscope dans tous les bassins économiques du pays, soit environ 500 éditions en France, pour créer du lien, favoriser le business et que l’information circule ! Mais pour l’instant, le Périscope sud-alsacien est un modèle unique, avec une équipe de professionnels (Béatrice, Pierre-Alain et Magali)… un ovni dans la presse d’entreprise, un réseau social B to B aussi, et qui entend bien le rester.

Un grand merci à nos annonceurs, partenaires, lecteurs et amis.

 

Béatrice Fauroux
Rédactrice en chef