Ocito, les entrepreneurs solidaires

Édition : Mulhouse/Sud-Alsace - 11 avril 2011

 

Ocito propreté et paysages est une entreprise de nettoyage spécialisée dans l’entretien des bureaux, des communs pour les copropriétés ou encore pour les comités d’entreprises. Environ 25% de son activité est consacrée à l’entretien des espaces verts et à la petite maçonnerie. Si Ocito est une entreprise comme les autres, elle revendique un mode de fonctionnement tourné vers la formation et l’insertion de ses salariés.

Journal économique de Mulhouse et environs : OCITO - nettoyage industriel

« Nous avons un agrément “Pôle Emploi“ qui nous donne le droit d’embaucher des gens en situation difficile, et de les former pendant deux ans » explique Rémi Spillmann, directeur de la structure de nettoyage. « Mais attention », ajoutet- il, « nous sommes une Sàrl, notre fonctionnement d’entreprise est le même qu’une autre, avec les mêmes marchés et les mêmes contraintes. » « Pendant les deux années où ils restent chez nous, nos salariés bénéficient de formations diverses pour acquérir un savoir-faire qui leur pemettra de trouver un contrat en CDI » ajoute Marcel Czaja, gérant du groupe Ocito, « et c’est le cas pour 40 à 50 % d’entre eux. » Ocito emploie 30 CDDI (le I correspond à insertion) sur les 50 personnes présentes en équivalent temps-plein, regroupant dixneuf nationalités, allant des plus jeunes sans qualification aux plus anciens en recherche de travail. Entrant avec un niveau d’agent de service niveau 1, ils ressortent avec un niveau 2, validé par l’INHNI, l’organisme de formation du secteur hygiène. Concernant la partie espaces verts, la formation est pour le moment interne, mais une recherche de validation est en cours avec le lycée agricole de Rouffach.

Encadrer au sens large

« La formation interne, qui est une culture d’entreprise, réside aussi dans la transmission quotidienne du savoir-faire, » précise Marcel Czaja. « Nous voulons tirer les gens vers le haut et leur donner la reconnaissance du travail bien fait. » Pour cela, Chez Ocito le taux d’encadrement est plus élevé que dans la moyenne des entreprises. Deux personnes s’occupent du suivi social des salariés, redonnant ainsi aux mots “ressources humaines“ son vrai sens. Elles peuvent aussi fournir une aide au quotidien, comme la recherche de logement. Du coup, les efforts fournis en termes de formation et d’encadrement ont forcément un effet positif sur la capacité d’Ocito à garder ses clients. « Dans un secteur où les contrats sont renouvelés tous les ans et où la concurrence est vive, le très bon taux de reconduction de ceuxci est notre meilleur critère de satisfaction », termine Rémi Spillmann.

Journal économique de Mulhouse et environs - Le périscope : information économique mulhousienContact : Ocito, 8 rue du Pont – Illzach
Tél : 03 89 46 84 60 – Web : www.ocito-services.fr

« Nous avons un agrément “Pôle Emploi“ qui
nous donne le droit d’embaucher des gens en
situation difficile, et de les former pendant deux
ans » explique Rémi Spillmann, directeur de la
structure de nettoyage. « Mais attention », ajoutet-
il, « nous sommes une Sàrl, notre fonctionnement
d’entreprise est le même qu’une autre, avec les mêmes
marchés et les mêmes contraintes. » « Pendant les
deux années où ils restent chez nous, nos salariés
bénéficient de formations diverses pour acquérir un
savoir-faire qui leur pemettra de trouver un contrat
en CDI » ajoute Marcel Czaja, gérant du groupe
Ocito, « et c’est le cas pour 40 à 50 % d’entre eux. »
Ocito emploie 30 CDDI (le I correspond
à insertion) sur les 50 personnes présentes
en équivalent temps-plein, regroupant dixneuf
nationalités, allant des plus jeunes sans
qualification aux plus anciens en recherche
de travail. Entrant avec un niveau d’agent de
service niveau 1, ils ressortent avec un niveau 2,
validé par l’INHNI, l’organisme de formation
du secteur hygiène. Concernant la partie espaces
verts, la formation est pour le moment interne,
mais une recherche de validation est en cours
avec le lycée agricole de Rouffach.
Encadrer au sens large
« La formation interne, qui est une culture
d’entreprise, réside aussi dans la transmission
quotidienne du savoir-faire, » précise Marcel
Czaja. « Nous voulons tirer les gens vers le haut et
leur donner la reconnaissance du travail bien fait. »
Pour cela, Chez Ocito le taux d’encadrement
est plus élevé que dans la moyenne des
entreprises. Deux personnes s’occupent du
suivi social des salariés, redonnant ainsi aux
mots “ressources humaines“ son vrai sens. Elles
peuvent aussi fournir une aide au quotidien,
comme la recherche de logement.
Du coup, les efforts fournis en termes de
formation et d’encadrement ont forcément
un effet positif sur la capacité d’Ocito à garder
ses clients. « Dans un secteur où les contrats sont
renouvelés tous les ans et où la concurrence est
vive, le très bon taux de reconduction de ceuxci
est notre meilleur critère de satisfaction »,
termine Rémi Spillmann.« Nous avons un agrément “Pôle Emploi“ qui nous donne le droit d’embaucher des gens en situation difficile, et de les former pendant deux ans » explique Rémi Spillmann, directeur de la structure de nettoyage. « Mais attention », ajoutet- il, « nous sommes une Sàrl, notre fonctionnement d’entreprise est le même qu’une autre, avec les mêmes marchés et les mêmes contraintes. » « Pendant les deux années où ils restent chez nous, nos salariés bénéficient de formations diverses pour acquérir un savoir-faire qui leur pemettra de trouver un contrat en CDI » ajoute Marcel Czaja, gérant du groupe Ocito, « et c’est le cas pour 40 à 50 % d’entre eux. » Ocito emploie 30 CDDI (le I correspond à insertion) sur les 50 personnes présentes en équivalent temps-plein, regroupant dixneuf nationalités, allant des plus jeunes sans qualification aux plus anciens en recherche de travail. Entrant avec un niveau d’agent de service niveau 1, ils ressortent avec un niveau 2, validé par l’INHNI, l’organisme de formation du secteur hygiène. Concernant la partie espaces verts, la formation est pour le moment interne, mais une recherche de validation est en cours avec le lycée agricole de Rouffach. Encadrer au sens large « La formation interne, qui est une culture d’entreprise, réside aussi dans la transmission quotidienne du savoir-faire, » précise Marcel Czaja. « Nous voulons tirer les gens vers le haut et leur donner la reconnaissance du travail bien fait. » Pour cela, Chez Ocito le taux d’encadrement est plus élevé que dans la moyenne des entreprises. Deux personnes s’occupent du suivi social des salariés, redonnant ainsi aux mots “ressources humaines“ son vrai sens. Elles peuvent aussi fournir une aide au quotidien, comme la recherche de logement. Du coup, les efforts fournis en termes de formation et d’encadrement ont forcément un effet positif sur la capacité d’Ocito à garder ses clients. « Dans un secteur où les contrats sont renouvelés tous les ans et où la concurrence est vive, le très bon taux de reconduction de ceuxci est notre meilleur critère de satisfaction », termine Rémi Spillmann.