Le Périscope déjà 7 ans, il est temps d’en parler
Édition : Mulhouse/Sud-Alsace - 16 mars 2016
Nouvelle formule, site internet relooké, une webTV et une visibilité en ligne toujours plus importante des entreprises locales : Le Périscope s’offre une cure de jouvence pour ses 7 ans et reste le media B to B le plus dynamique d’Alsace.
Suite aux changements vécus par le journal, nous vous devions bien une petite explication à l’occasion de cet anniversaire. Non, le journal n’a pas été vendu, mais la rédactrice en chef et fondatrice du journal Béatrice Fauroux a simplement décidé de partager cette aventure entrepreneuriale avec de nouveaux associés, Anthony Hernu et Charles Plaisant, par ailleurs dirigeants de l’agence de communication Cactus.
La nouvelle société (la SAS Le Périscope) est donc co-dirigée par une équipe renouvelée, aux compétences complémentaires et qui peuvent envisager de mener des projets plus ambitieux, toujours dans le but de mettre en valeur les compétences et les entreprises du Sud-Alsace.
Des chefs d’entreprise parlent aux chefs d’entreprise
En se développant, le Périscope conserve ce qui fait son ADN : l’exploration attentive de nos ressources économiques, incarnées par ces PME de tous secteurs qui sont souvent de formidables découvertes. Après 7 années de reportages sur le terrain à raison de 150 rencontres par an, notre curiosité du monde des entreprises est intacte. Tout nous prouve que ce sont elles qui préservent l’écosystème local : habitat, ancrage de la population, loisirs, écoles… Créer du lien dans cet écosystème grâce aux Apériscope est le prolongement de notre journal papier, car sans la vraie rencontre et les échanges entre professionnels, pas de projets nouveaux !
Comment le journal est-il distribué ?
La nouvelle formule dont vous avez un exemplaire entre les mains est un journal de 16 pages distribué dans toutes les zones économiques du Sud-Alsace et des entreprises isolées, au gré des trajets de nos distributeurs. La zone s’étend au sud d’une ligne de Saint-Louis à Wesserling, en passant par la zone de Pulversheim. Cette distribution pourrait être améliorée, notamment si vous nous signalez des endroits où les chefs d’entreprise se rencontrent souvent (certains restaurants par exemple).
Et le journal en ligne ?
Depuis la refonte de notre site internet le-periscope.info et les progrès que nous avons réalisés dans la mise en ligne de nos articles, vous fréquentez de plus en plus le site du journal et cela nous réjouit. Tous les jours, plus de 500 pages sont vues (15.000 par mois), ce qui est performant pour un média ciblé, local et B to B. Tous les jours ou presque, nous publions les faits et gestes des entreprises qui nous informent, en plus des reportages en entreprise.
Qu’est-ce qui est gratuit, qu’est-ce qui est payant ?
Nous travaillons comme toute rédaction, en toute liberté, en choisissant nos articles selon les entreprises, secteurs géographiques du Sud-Alsace ou sujets encore peu explorés. Bien entendu, nous sommes aussi attentifs aux demandes des entreprises et stockons un certain nombre de sujets qui seront traités en ligne ou dans une édition ultérieure.
Un article payant, c’est un publi-reportage. Toutes les publicités sont payantes, ce sont elles qui financent le journal. On peut aussi passer des publicités.
Qui finance le journal ?
Le Périscope est une création privée ex-nihilo, avec un sens de l’intérêt général poussé, et dont la première édition est parue en mars 2009. Gratuit pour le public, tout comme les articles publiés en ligne ou les Apériscope, il est financé à 100% par la publicité, sous toutes ses formes : bannières web, publi-reportages ou publicités dans le journal papier, sans oublier les sponsors de nos Apériscope.
Quels sont les projets du journal ?
Qu’il y ait un Périscope dans tous les bassins économiques de France, soit environ 500 éditions, pour créer du lien, favoriser le business et que l’information circule ! Mais restons sur terre, pour l’instant le Périscope sud-alsacien est un modèle unique, un ovni dans la presse d’entreprise, un réseau social B to B aussi, et entend bien le rester longtemps. Un grand merci à nos annonceurs, partenaires, lecteurs et amis.
Béatrice Fauroux
Rédactrice en chef