Attractivité du Parc des Collines : un nouveau comité de réflexion

Édition : Mulhouse/Sud-Alsace - 28 mars 2012

Ce mardi 27 mars au matin a eu lieu au Cube chez Activis (Parc des Collines/PDC), à l’initiative de la CCI-Sud-Alsace Mulhouse et de La Poste,  la première réunion d’un comité de professionnels réfléchissant sur le thème de l’attractivité du Parc. Au fil de la discussion, l’attractivité a été traitée sous l’angle des services améliorant le quotidien des entreprises et de leurs salariés, comme les services postaux et les transports en commun, deux demandes récurrentes depuis la naissance du PDC.

A l’initiative de Martine Zussy de la CCI de Mulhouse, étaient réunis Dominique Huard, Directeur de la MEF de Mulhouse, Yves-Marie Mourlat, Directeur commercial de la SERM, Michel Lévy, cabinet In Extenso et président de l’association des entreprises du Parc des Collines, Laurence Courtois, de l’agence de communication Willow installée au Parc des Collines, Josiane Trible, architecte également installée au Parc des Collines, Alain Dereux, Directeur général d’Activis, et deux représentants de La Poste, Thomas Lauer et Yves Boog, le tout sous le regard de la collectivité m2A représentée par Anaïs Bellicam, Chargée de mission Développement économique et enseignement supérieur à Mulhouse Alsace Agglomération.

Après une courte présentation du territoire économique ouest de Mulhouse (croissant ouest) et des entreprises en présence par la représentante de la CCI, la discussion très ouverte a permis de confirmer la demande à proximité des entreprises de services postaux, pour l’heure trop éloignés du quartier d’affaires. Les représentants de La Poste ont donc décidé de mener une enquête auprès des professionnels du secteur pour identifier leurs besoins. Les résultats de ce sondage seront prêts pour mi-mai.

Dans un second temps, des témoignages ont fait état de transports en commun trop limités en direction du Parc des Collines, notamment en provenance directe de la gare centrale de Mulhouse. Un sujet, là aussi, qui n’est pas nouveau, mais se révèle complexe et requiert la tenue d’une réunion dédiée au sujet en compagnie des responsables ad hoc. Cette affaire est donc à suivre.

 

Béatrice Fauroux