FH Orthopedics SAS, fidèle partenaire de l’Orientoscope

Édition : Mulhouse/Sud-Alsace - 18 avril 2017

PUBLI-INFORMATION
L’Orientoscope est le passage obligé pour tous les jeunes qui cherchent une voie professionnelle d’avenir. Catherine Heydorff de FH Orthopedics SAS à Heimsbrunn s’investit auprès d’eux pour expliquer son métier: commercial à l’export.

« Les jeunes rêvent beaucoup et c’est normal, notre rôle est de remettre un peu les pendules à l’heure, pour les aider à mieux voir la réalité professionnelle et faire les bons choix», explique Catherine Heydorff, commerciale sédentaire export chez FH depuis 2003 et qui intervient à l’Orientoscope depuis 5 ans. Cette cadre dynamique est présente lors des différents événements programmés par l’Orientoscope, comme la Journée des Métiers ou la Nuit de l’Orientation, pour recevoir et informer les jeunes, et ce depuis plusieurs années.

Informer sur son métier
«Le métier de commercial à l’export, cela peut signifier voyager, ou non. Par exemple, je suis commerciale sédentaire. Ceux qui voyagent font énormément d’heures, vivent des décalages horaires et ont une vie de famille compliquée. Qu’on soit mobile ou sédentaire, il faut maîtriser plusieurs langues, ce qui est le cas de nombreux jeunes européens… sauf en France ». Mme Heydorff partage les contraintes et atouts de son métier, donne des exemples concrets, rassure les jeunes… et les parents : « Rien de tel que le partage d’expérience, le vécu. On stresse beaucoup les jeunes en leur donnant des objectifs importants, en leur faisant miroiter des carrières ou des univers inaccessibles alors que certains y sont prêts, et d’autres non. Le plus intéressant, c’est encore de les écouter ».

Au-delà du métier
En interrogeant les jeunes venus la voir, Catherine Heydorff se rend compte du décalage important entre les projections sur certains métiers et la réalité. Par exemple, pour être un bon commercial, ce n’est pas la “tchatche” qui est efficace, mais la qualité de l’écoute. «Je les questionne sur ce qu’ils ont vraiment envie de faire, sur leur goûts, leurs hobbies. Et il arrive que je leur conseille des pistes auxquelles ils n’avaient pas songé. Certains reviennent plus tard en me remerciant!». Mme Heydorff n’attend rien de particulier pour son entreprise dans ces échanges : «Nous recrutons dans des profils bien spécifiques et expérimentés. L’idée est de faire comprendre le monde du travail et d’aider des jeunes qui ont besoin de conseils et d’ouverture d’esprit, et surtout d’être rassurés».

www.orientoscope.fr

Notre article précédent sur l’Orientoscope